Osons le changement
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Dix, quinze, trente milliards et plus pour réduire le déficit, ce sont les cadeaux fiscaux qui ont été faits à valeur constante au capital et aux entreprises qui délocalisent. En exemple, le patron de LVMH, première fortune de France qui entend s’exiler, avouant, de fait, un chantage à l’argent et aux profits ; fuyant par ailleurs l’impôt.
La crise ? Il n’y a pas de crise, n’en déplaise aux médias et autres journaleux. Nous sommes devant la fin, depuis près d’un siècle, d’un système économique et idéologique qui se nomme le capitalisme. Un système ruineux dont la perversion n’est plus à démontrer, mettant en faillite les états les uns après les autres tout en se reposant sur l’exploitation des peuples à travers la paupérisation organisée.
Cette logique est passée tout comme l’est l’état féodal et la monarchie. Tout démontre qu’il faut inventer un autre modèle social qui ne repose plus sur la production, la croissance économique, les profits et la spéculation. Le plein emploi ce n’est plus la peine d’y penser. Quant à la précarité il faut y renoncer.
Tout est là ! Du fric il y en a !
Alors, nous lançons un défi au Président de la République : Osons le changement maintenant ! Le vrai.
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